Il s’agira d’un pamphlet édité pour Rizzoli par Alessandro Giammei, chercheur en littérature italienne à l’Université de Yale et l’un des enfants de l’âme de l’écrivain décédé le 10 août 2023. L’ouvrage traitera de la maternité et de la famille queer.
Le 9 janvier 2023, le livre sera publié à titre posthume Michela Murgia. Un ouvrage sous forme de pamphlet édité par Alessandro Giammeichercheur en littérature italienne à l’Université de Yale et l’un des enfants d’âme de l’écrivain sarde décédé le 10 août 2023. Le livre, publié chez Rizzoli, abordera des thèmes dont Murgia a beaucoup parlé et publiquement au cours des derniers mois de sa vie comme la famille queer et la maternité. Voici tout ce que vous devez savoir.
Michela Murgia, de quoi parle le livre Donner la vie à paraître le 9 janvier 2023 chez Rizzoli
Le dernier effort de Murgia il promet d’être, selon les mots de ceux qui l’ont édité, « un livre touchant ». Les sujets qu’il abordera tourneront autour du thème macro de la famille et maternité. Toujours selon les mots du chercheur, le livre était censé parler uniquement de Gpa (gestation pour les autres), mais avec le temps, il est devenu quelque chose de plus profond, probablement aussi en raison de la conditions de santé où se trouvait le sien auteur. Le livre, en effet, a été écrit dans les derniers mois de la vie de Murgia, qui était déjà largement conscient du conditions qu’elle considérait elle-même comme irréversible.
Publications Instagram sur la famille queer
Du famille homosexuellel’écrivaine sarde s’était longuement exprimée sur ses réseaux sociaux et dans son dernier apparitions publiques. Dans l’un de ses derniers articles sur son Profil Instagram il avait tonné : «Je trouve scandaleux qu’en 2023 notre espèce, qui dans son arrogance prétend être la plus évoluée de la planète, continue à considérer sa propre reproduction comme une question de sang, la chose la plus fasciste qui existe, ce qui nie la volonté, le choix, la merveilleuse spécialité d’aimer quelqu’un de manière absolument libre, sans dépendre d’une quelconque destinée génétique. Le premier marqueur de l’homosexualité est la génération de volontéla capacité non pas de « reproduire », banalement animale, mais de multiplierun verbe qui relègue le sang à l’une des possibilités d’être et de rester humain, mais pas la seule et peut-être finalement même pas la meilleure possible. »